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Tamron reçoit trois prix EISA 2021-2022

15 août 2021, Saitama, Japon – Tamron Co., Ltd. (Président et PDG : Shiro Ajisaka), l’un des principaux fabricants d’optiques pour diverses applications, annonce l’attribution par l’European Imaging and Sound Association (EISA) des prix suivants : le 17-70 mm F/2.8 Di III-A VC RXD (Modèle B070) reçoit le prix de «L’OPTIQUE EISA DE L’ANNÉE 2021-2022 », le 11-20 mm F/2.8 Di III-A RXD (Modèle B060) est auréolé du «ZOOM GRAND-ANGLE EISA (APS-C) 2021-2022″, enfin le 150-500mm F/5-6.7 Di III VC VXD (Modèle A057) obtient le prix du « DU MEILLEUR TELEZOOM EISA 2021-2022 ». Avec ces trois prix prestigieux, cela fait 16 années consécutives que Tamron se voit récompensé et est reconnu par cette institution de référence.

OPTIQUE EISA DE L’ANNÉE 2021-2022
Tamron 17-70mm F/2.8 Di III-A VC RXD (Modèle B070)

17 70mm

Citations du jury:
OPTIQUE EISA DE L’ANNÉE 2021-2022

Tamron 17-70mm F/2.8 Di III-A VC RXD (Modèle B070)
Pour les passionnés qui utilisent des Sony hybrides APS-C à la qui recherche d’un zoom de haute qualité, c’est le choix parfait. Le 17-70mm offre une combinaison particulièrement utile d’une grande ouverture et d’une large plage focale équivalente à un 26 à 105 mm plein format, sans compromettre la qualité optique. L’objectif est étanche (comme série Alpha 6000), tandis que sa stabilisation optique permet une prise de vue à main levée à des vitesses d’obturation lentes sans flou de bougé. De plus, l’autofocus est silencieux et précis tout en étant entièrement compatible avec des fonctionnalités telles que l’Eye AF. Le 17-70mm est un premier choix ceux qui photographient divers sujets au quotidien.


OBJECTIF ZOOM GRAND-ANGLE EISA (APS-C) 2021-2022
Tamron 11-20mm F/2.8 Di III-A RXD (Modèle B060)

11 20mm

Citations du jury:
OBJECTIF ZOOM GRAND-ANGLE EISA (APS-C) 2021-2022

Tamron 11-20mm F/2.8 Di III-A RXD (Modèle B060)
Conçu pour être utilisé avec les appareils photo Sony hybrides APS-C, il s’agit du premier zoom ultra grand-angle de cette catégorie à offrir une ouverture maximale de f/2,8. Il est à la fois compact et léger tout en donnant des résultats supérieurs. Sa distance minimale de mise au point est de 15 cm à 11mm, ce qui le rend idéal pour les plans rapprochés. Le moteur AF RXD est totalement silencieux et effectue une mise au point précise et rapide, ce qui est particulièrement utile pour la vidéo. En conséquence, c’est
le choix parfait pour filmer avec des angles et des perspectives saisissantes.


TELEZOOM EISA 2021-2022
Tamron 150-500mm F/5-6.7 Di III VC VXD (Modèle A057)

150 500mm

Citations du jury:
TELEZOOM EISA 2021-2022

Tamron 150-500mm F/5-6.7 Di III VC VXD (Modèle A057)Cet ultra téléobjectif de Tamron pour Sony FE offre une plage focale idéale pour la photographie animalière, sportive et d’action. Il a une distance de mise au point minimale de 60 cm à la position 150mm, avec grossissement maximal de 1:3,1. Son revêtement antireflet supprime les images fantômes. Il est résistant à l’humidité et sa lentille frontale est protégée par son traitement au fluor. Il s’agit du premier objectif Tamron pour hybrides plein format à être doté d’une stabilisation, permettant une prise à main levée à 500 mm.


À propos du prix EISA
L’Association européenne de l’imagerie et du son (EISA) décerne chaque année des prix dans les catégories Photographie, Appareils mobiles, Hi-Fi, Audio & Video pour Home Cinéma, et Électronique embarquée. Il regroupe un panel d’éditeurs de plus de 60 magazines de l’industrie de l’imagerie, du son et de l’électronique dans 30 pays qui détermine les produits phares du marché.

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Un photographe de voyage passionné

Ambassadeur Tamron Suisse – Stefan Tschumi

La pandémie de coronavirus a bouleversé pas mal de choses. Notamment le milieu des photographes de voyage. Frontières fermées, vols restreints, évolution incertaine de la pandémie. Mais celles et ceux qui se sont résolus à voyager ont pu voir le côté positif des choses: des aéroports vides, des touristes absents, une nature intacte. Bref, un paradis pour le photographe de voyage Stefan Tschumi.

Stefan Tschumi, ambassadeur suisse de la marque Tamron, a visité les îles Galápagos un peu par hasard en début d’année. Dans une interview accordée à la presse, ce photographe et blogueur de voyage avait évoqué les difficultés que ses collègues de travail et lui-même rencontraient pendant la pandémie de Covid-19. Le lendemain, il recevait dans sa boîte de réception un e-mail qu’il ignora dans un premier temps, mais qu’il lut par la suite avec d’autant plus de plaisir. Il était invité à s’envoler pour les îles Galápagos.

Le Tamron 17-70: un appareil fiable, précis et léger

«Au début, je pensais que c’était un spam», raconte Stefan en riant. «C’est ma petite amie, avec qui j’anime le blog de voyage et de photographie Journey Glimpse (www.journreyglimpse.com), qui a fini par m’avertir de son contenu. Heureusement, puisqu’il s’agissait bel et bien d’une invitation à partir pour les îles Galápagos. «J’avais toujours rêvé d’y aller et j’ai rapidement compris que nous allions enfin pouvoir réaliser ce rêve.» A sa grande surprise, voyager fut rarement aussi détendu qu’en février 2021. «C’était très agréable. Comme on pouvait s’y attendre, les aéroports étaient bien plus vides que d’ordinaire; jamais l’enregistrement n’avait été aussi simple, même avec tout l’équipement photo. En outre, les gens respectent naturellement plus de distance entre eux, ils sont plus patients et, pour couronner le tout, nous avons même été surclassés en business sans supplément important.»

Quant à l’équipement photo qu’il a emporté dans ses affaires, il convenait parfaitement aux exigences d’un voyage à destination d’un paradis naturel. «Je souhaitais m’approcher le plus possible des animaux, tout en ayant la possibilité de photographier le paysage, qui est impressionnant. Il m’a donc semblé logique d’opter pour un objectif Tamron 17-70 en plus du Sony 200-600 mm. Une solution idéale. Très lumineux, le 17-70 est équipé d’un zoom avec une excellente gamme de focales couvrant l’intégralité de la surface souhaitée. De plus, les images sont épatantes de précision et l’objectif est très léger. Il est donc idéal pour voyager. Sans compter que dans des environnements tels que celui des Galápagos, je peux utiliser le facteur de recadrage.» Et Stefan de confirmer: cette parfaite association de qualité, de prix et de poids plaide en faveur de Tamron dans le segment des objectifs de voyage premium. «Tout à fait. La faiblesse du poids combinée aux ouvertures maximales de diaphragme d’environ f2.8 est absolument fantastique pour un objectif de zoom. Lors de mes voyages, je me déplace souvent à pied pendant de longues périodes avec un sac sur le dos. Les objectifs Tamron sont tout simplement parfaits dans ce cas.»

Tamron: idéal pour les voyageurs et les étudiants

Avant de s’y rendre, il n’aurait jamais imaginé pouvoir approcher d’aussi près les animaux vivant sur les îles Galápagos. La pandémie a complément chamboulé leur mode de vie à eux aussi. «C’était vraiment impressionnant. Presqu’aucun bateau ne se rend sur les îles en ce moment, cela fait des mois que les touristes ne s’y aventurent plus. J’ai même eu le sentiment que certains animaux ont été surpris par ma présence, bien qu’aux îles Galápagos, on ne puisse de toute façon approcher les animaux qu’en respectant une distance minimale. Cela est strictement réglementé par le parc national. Néanmoins, on avait l’impression que les animaux manifestaient une certaine curiosité pour la visite inopinée d’un voyageur sur leur territoire. Pouvoir découvrir cette nature époustouflante fut une expérience indescriptible. Dans de tels moments, disposer de l’équipement adéquat est d’autant plus important. Les objectifs Tamron complètent à merveille mon équipement Sony.»

Malgré toute la fascination suscitée par son voyage aux îles Galápagos, Stefan Tschumi insiste tout de même sur le fait qu’un bon nombre de projets, voyages et missions photographiques ont été annulés ces derniers mois. C’est la raison pour laquelle, désormais, il se consacre surtout à son activité de formateur. «Aujourd’hui, j’enseigne à plein temps dans des ateliers. En ce moment, il se passe pas mal de choses dans ce domaine, ce qui est assez fantastique, je dois dire. J’ai l’occasion de donner des cours à des débutants comme à des professionnels et je travaille également pour le journalisme sportif. Les productions et reportages étant peu ou prou à l’arrêt en ce moment, c’est une excellente alternative.» Ses élèves et étudiants profitent du savoir-faire d’un photographe passionné comptant de nombreux voyages à son actif. Mais d’ailleurs, quels messages-clés leur transmet-il à chaque fois? «S’intéresser le plus tôt possible aux différents contextes de la photographie et bien connaître le fonctionnement du diaphragme, de la vitesse d’obturation et des valeurs ISO. Il y a un deuxième conseil que je donne toujours: se lever de bonne heure. Car la meilleure lumière appartient à ceux qui se lèvent tôt.»

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Publication:

https://www.rheinwerk-verlag.de/reisefotografie-die-grosse-fotoschule/

Site Internet:

www.stefantschumi.photography

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150-500mm F/5-6.7 Di III VC VXD (Modèle A057)

Le 150-500 mm F5-6.7 est le premier ultra-téléobjectif de TAMRON pour les appareils photo sans miroir plein format qui atteint la distance focale de 500 mm. Même lorsqu’il est étendu au téléobjectif de 500 mm, l’objectif reste suffisamment compact pour une prise de vue confortable à main levée. Cet objectif permet aux utilisateurs de profiter de performances stables et une qualité d’image élevée dans n’importe quelle situation et sans trépied. Pour cela il est équipé du système d’AF VXD (Voice-coil eXtreme-torque Drive), un mécanisme de mise au point linéaire qui offre un excellent silence et des performances agiles, et du système VC (compensation de vibration) de TAMRON qui offre une stabilisation d’image de haut niveau. À l’extrémité 150 mm, l’objectif offre une distance minimale de mise au point (DMMP) de 60 cm pour des gros plans puissants et spectaculaires.

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11-20mm F/2.8 Di III-A RXD (modèle B060)

TAMRON annonce le premier zoom ultra grand angle F/2.8 pour hybrides APS-C de Sony.

Le nouveau zoom 11-20 mm F/2,8 est le premier ultra grand angle (UGA) au monde pour les appareils APS-C à monture E de Sony doté d’une ouverture F/2,8. Malgré son ouverture rapide, l’objectif reste compact (86,2 mm de long) et est donc parfaitement équilibré à un boîtier APS-C. À 11 mm, il présente des performances de prises de vues rapprochées remarquables, avec distance minimale de mise au point de 15 cm et un rapport de grossissement de 1: 4.

Le modèle B060 est protégé par une construction résistante à l’humidité et un revêtement au fluor. Sa taille de filtre de 67 mm est identique au 17-70 mm F / 2,8 Di III-A VC RXD (modèle B070) pour Sony E APS-C et presque tous les objectifs de la série Di III de TAMRON. Il est compatible avec de nombreuses fonctionnalités intégrées aux appareils Sony, notamment le Fast Hybrid AF et l’Eye AF.

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AF 17-70mm F/2.8 Di III-A VC RXD pour Sony hybride APS-C

Le premier zoom 17-70mm F/2.8

  • Equivalent 25-105 F/2.8 plein format
  • Stabilisateur d’image VC optimisé pour la vidéo
  • Moteur AF RXD rapide & silencieux
  • Compact et léger: 525g – 11.9cm de long – 7.5cm de large
  • Mise au point min. 19cm (à 17mm) et 39cm (à 70mm)
  • 100% natif et compatible avec les technologies Sony: Eye AF, Fast Hybrid AF
  • Philosophie Tamron E 67mm: taille de filtre unique

* Comparaison avec les objectifs interchangeables standards comprenant un zoom avec luminosité F/2.8 pour appareils système sans miroir et capteur APS-C (état: novembre 2020, source: Tamron)

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Tamron AF 28-200mm – idéal pour la randonnée et la voile

Le photographe romand Timon Bachmann est parti à la découverte de l’Oberland bernois. Un seul objectif dans ses bagages, le Tamron 28-200. Et comme le dit le proverbe, «la chance sourit aux audacieux».

Timon Bachmann, 20 ans, aime le Lac Léman par-dessus tout. Chaque fois qu’il a une minute de libre, il la passe là: sur le lac, dans le lac ou au bord du lac. Ce week-end de l’été 2020, Timon avait un autre projet: il voulait faire une randonnée au Brienzer Rothorn avec deux amis et photographier ce paysage unique en son genre. «Je ne suis vraiment pas quelqu’un qui passe ses week-ends à la montagne. Mais ça fait longtemps que j’avais cette chaîne de montagnes et cette randonnée sur les crêtes en tête. Cet été, quand Tamron m’a proposé de tester son nouvel objectif 28-200, j’ai acheté des billets de train pour deux amis et moi, et nous nous sommes mis en route.»

Tout près du ciel avec Tamron

A Nyon, leur domicile, les trois copains ont pris le train pour Interlaken, puis le funiculaire d’Harder Kulm, et ont finalement commencé leur ascension du Gummhoren à 11 heures. «Je voulais trouver un endroit magnifique où passer la nuit dehors. J’avais pour objectif de photographier le coucher du soleil dans ce cadre exceptionnel. Et d’être prêt le lendemain matin quand le soleil réapparaît derrière les sommets montagneux.» Contrairement à son habitude, Timon avait seulement un objectif dans ses bagages lors de cette excursion, le 28-200. «Bien sûr, c’était une expérience. Au début, j’étais assez sceptique. Je me demandais si ça allait marcher avec seulement un objectif, que je ne connaissais pas du tout, qui plus est.» Ça a marché. Comme Timon les objectifs Tamron 28-75mm f2.8 et 17-28mm f.2.8 lui étaient déjà familiers, il n’a eu aucune difficulté à s’habituer à ce nouvel objectif. «J’ai vraiment eu plaisir à faire des photos avec. J’étais ravi. Au début, j’étais un peu incertain concernant la luminosité et l’ouverture. Mais ça non plus, ça n’a pas du tout posé problème. On peut faire de magnifiques photos au crépuscule avec cet objectif, et c’était en tout état de cause le bon choix pour cette excursion.»

Après quelques heures de randonnée, les trois copains savaient où ils allaient passer la nuit: sur la crête du Gummhoren. Une décision qui n’avait pas que des avantages. «Je voulais rester à un endroit où je pouvais faire de super photos. Passer la nuit en plein milieu du chemin de crête n’était sans doute pas idéal. Je ne pouvais pas me retourner sous peine de tomber en bas de la montagne. En même temps, je ne me suis jamais senti aussi près du ciel étoilé et j’ai pu observer la voie lactée. L’endroit était également idéal pour les photos du coucher et du lever du soleil.»

L’objectif 28-200 – également au top sur le lac

Au départ, Timon voulait aller jusqu’au Brienzer Rothron avec ses deux amis. Mais le lendemain matin, les vivres et la motivation manquaient pour réaliser ce projet. «Nous avons opté pour rentrer et descendre la montagne, ce qui a aussi été un challenge. Nous avons descendu 1400 mètres d’altitude, ce qui n’était pas évident après une nuit quasiment sans sommeil. 24 heures après le début de leur randonnée, ils étaient à bord d’un bateau en direction d’Interlaken, d’où ils voulaient rejoindre Nyon en train. Timon a tiré profit de sa nuit blanche puisqu’elle lui a permis de faire des photos fantastiques dans un décor de montagne inoubliable avec le Tamron 28-200.

A peine rentré dans son Nyon adoré au bord du Lac Léman, Timon a reçu un appel d’un ami qui lui proposait d’aller faire un tour en catamaran. «J’ai accepté tout de suite. J’adore improviser. En plus, je n’avais encore jamais été sur le lac en catamaran.» Du coup, il ne connaissait pas non plus le fonctionnement du bateau et ne savait pas s’il aurait même le temps de faire des photos. «J’ai quand même emporté le Tamron 28-200 et me suis laissé surprendre.» Comme pendant la randonnée, il n’a pas été déçu du nouvel objectif dans le bateau. «J’ai eu confirmation que c’était un super objectif pour la photographie d’aventure et d’action. En plus, il est très compact, léger et offre une qualité d’image vraiment fantastique. Il me permet d’être créatif, ce que j’aime particulièrement.»

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Des réparations sur mesure par un grand professionnel

Tamron accorde une grande importance à la dimension personnelle du S.A.V. et à la rapidité du service. Pour cela, le fabricant d’objectifs de haute qualité et d’autres produits d’optique peut compter sur Elias Hämmerli. Agé de 49 ans, ce mécanicien polyvalent né à Port, en Suisse, gère à lui tout seul le S.A.V. de Tamron en Suisse. Et ceci est une très bonne nouvelle pour les clients, car cela signifie que leur objectif, aussi défectueux qu’il soit, est entre les meilleures mains.

Tout a commencé avec des projecteurs de diapositives. Il y a 24 ans, quand Elias Hämmerli a pris ses fonctions chez Leica à Nidau, plusieurs projecteurs défectueux l’attendaient sur son bureau. Cette image a bien changé depuis, car les projecteurs ont définitivement été remisés dans le passé. Depuis que M. Hämmerli est devenu responsable de la gestion des produits Tamron en 2002, son atelier n’accueille que des objectifs certes modernes, mais défectueux. Ceux-ci bénéficient du meilleur service imaginable auprès de ce natif du Seeland, calme et patient.

Des réparations professionnelles ultra-rapides

«Il me faut un à trois jours de travail pour réparer un objectif et le réexpédier», explique Elias Hämmerli, l’air serein. Il arrive parfois que le technicien doive entièrement démonter l’objectif, le vérifier, le réparer et le remonter avant de le réajuster. «Pas de problème. J’ai tous les outils dont j’ai besoin et surtout j’ai l’expérience et le savoir-faire pour réaliser ces réparations de façon professionnelle. Le client peut être certain qu’il recevra un objectif parfaitement réparé.» Cela prend juste plus de temps lorsque les réparations ne peuvent pas être réalisées sur place. Dans certains cas, M. Hämmerli doit en effet envoyer l’appareil en Allemagne au siège de Tamron. «C’est là qu’on voit parmi les clients lesquels ont de la patience», dit M. Hämmerli en souriant. Il arrive aussi qu’un délai d’attente de 6 semaines provoque des réactions hostiles ou un coup de téléphone. «Hé oui, c’est le trait distinctif de notre époque. Les gens ont globalement moins de patience.» Mais même dans ces situations, M. Hämmerli ne perd jamais son calme. «Lorsque le temps d’attente est vraiment long, je peux aussi prêter un objectif de remplacement.» Elias Hämmerli est un homme de solutions.

Il le faut bien. M. Hämmerli travaille seul dans l’atelier de Nidau. C’est surtout avant et après les vacances scolaires que ses journées de travail s’allongent. «C’est certainement pendant les vacances que j’ai le plus de travail. Les gens se rendent généralement compte juste avant de partir que leur appareil ne fonctionne pas bien. Ou alors ils l’ont laissé tomber dans l’eau pendant les vacances, ou quelque chose de ce genre. Mais pas de problème, je suis là pour ça.» Autrefois, il aurait paru impossible qu’une seule personne gère toute la Suisse. M. Hämmerli faisait d’ailleurs auparavant partie d’une équipe de 9 personnes. «Tout a changé. Avant, bien plus de pièces étaient susceptibles de se casser, notamment les pièces mécaniques. Aujourd’hui, tout est basé sur la programmation logicielle. Une fois qu’on a compris le principe de base, et qu’on a acquis, comme moi, un certain savoir-faire au fil du temps, tout va assez vite.»

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Un contact personnel avec les clients

A une époque où, lorsque l’on rencontre un problème technique, l’on est systématiquement mis en attente par des employés de call-center pendant ce qui parait être des heures, le S.A.V de Tamron et Elias Hämmerli semble être un vestige d’un monde ancien. Tous les objets défectueux arrivent sur son bureau et sont analysés par le professionnel lui-même et, si possible, réparés par lui aussi. Les gens peuvent même passer personnellement s’ils en ressentent le besoin. «Presque tous les jours une personne vient à mon bureau avec son appareil», s’étonne M. Hämmerli. «Parfois, un client parcourt même la moitié de la Suisse pour m’apporter son objectif défectueux. Cela s’avère un peu inutile lorsque le problème peut être résolu avec une mise à jour qui ne prend que 5 minutes», dit M. Hämmerli en riant. Mais ce service lui parait important. Le client est roi. Et la plupart des problèmes ne peuvent de toute façon pas être résolus avec une simple mise à jour, mais nécessitent l’assistance professionnelle d’Elias Hämmerli. «J’aime le contact personnel avec le client. Les gens sont aussi plus satisfaits quand ils peuvent rentrer chez eux avec leur appareil réparé. Je pense que ce genre de service est de nos jours de nouveau apprécié à sa juste valeur.»

Il va de soi toutefois que les clients ne repartent pas toujours avec le sourire. Mais cela n’est pas lié au travail d’Elias Hämmerli. Son conseil: «tout serait plus simple si les gens s’asseyaient et prenaient le temps de lire la notice d’utilisation. Ils pourraient résoudre eux-mêmes bien des problèmes sans que j’aie à intervenir.» Un conseil utile également pour le client qui avait envoyé son objectif neuf, car quelque chose n’allait pas avec la netteté. «J’ai vérifié, renvoyé, et assuré au client que tout était impeccable. Il a quand même téléphoné deux fois car il ne me croyait pas. Il a fini par me remercier au bout de quelques jours. Son problème était lié à une mise à jour», raconte Elias Hämmerli en souriant, l’air tranquille. Mais c’est pour cela qu’il est là. Pour des objectifs à réparer et des clients satisfaits. Quelle chance.

 

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